ps4

Warhammer: Chaosbane
Editeur : Big Ben Interactive
Développeur : Eko Software
Genre : Hack 'n' slash
Etat du jeu : Jeu disponible
Date de sortie : 04 Juin 2019
Trophées : Oui
Support

Disponible aussi sur : ps5
BETA : Warhammer : Chaosbane - Impressions de la bêta

Une bêta privée s'est tenue du 7 au 13 mars dernier, l'occasion de se faire une idée du Hack & Slash dans le monde de Warhammer.

Posté le Lundi 18 Mars 2019 à 20:51 par Pilou
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Impressions sur la Bêta de Warhammer : Chaosbane

Warhammer : Chaosbane est le prochain jeu développé par le studio Eko Software et édité par Big Ben Interactive. Une bêta était proposée aux joueurs ayant précommandés. Cette dernière s’est déroulée du 7 au 13 mars dernier. Warhammer : Chaosbane est un hack ‘n’ slash dans la veine de Diablo III dont il en hérite indéniablement.

Enième jeu dans l’univers de Warhammer, Chaosbane nous emporte à Nuln, ancienne capitale de l’Empire. Une invasion des démons de Nurgle a lieu et les premières missions de l’Acte 1, nous emmène dans les égouts de la cité où les héros doivent éradiquer la vermine du Chaos. Comme dans Diablo III, des cut scenes en crayonnés narrent l’histoire du jeu. Pour l’instant, uniquement en anglais, le jeu sera traduit pour sa sortie en juin.

Le jeu définitif proposera quatre classes différentes.

Dans cette bêta, deux des héros de l’Empire sont jouables : le soldat impérial Konrad-Vollen et le mage Haut-Elfe Elontir, deux classes certes classiques mais complémentaires en coopération : le soldat excelle au corps à corps alors que le mage emploie des sorts élémentaires pour décimer les armées du Chaos : ruée, coup circulaire pour le soldat, boules de feu, arcs électriques, flammes tel un cracheur de feu pour le mage. Les classes sont différentes et très intéressantes à jouer. On apprécie le passage de niveau pour découvrir de nouveaux pouvoirs. Le mage propose même des petites subtilités de gameplay où certains sorts peuvent être dirigés avec le stick droit.

Dans cette bêta, le niveau max était limité à 20. Ce niveau max nous donne une bonne idée de l'évolution de ces deux personnages. On a hâte de tester lors de sa sortie, le chasseur nain Bragi Axebiter et la scout des Elfes de la forêt, Elessa, le seule personnage féminin parmi les quatre classes.

 

Côté interface, le jeu propose des menus circulaires (comme dans Diablo) pour équiper les différents éléments d’armures et armes : casque, plastron, bouclier, armes, … Pas de surprise de ce côté là avec du loot disposant de différents niveaux de rareté.
Chaque passage de niveau donne accès à de nouvelles compétences et points que l’on répartit. Même chose, le système de compétences (skills) se présente en menu circulaire et on associe à chaque bouton de la manette (        ) un pouvoir. On a ainsi des compétences basiques, qui dans les premiers niveaux n’utilisent pas la jauge de pouvoir et d’autres, avancées qui utilisent plus ou moins cette jauge.
On peut personnaliser son héros selon sa façon de jouer, le personnage dispose de x points de compétences, il peut ainsi activer une compétence de niveau supérieur boostant les effets de cette dernière : le mage crache par exemple, des flammes avec sa bouche qui déjà au niveau deux sur trois, provoquent d’énormes dégâts de zone. Jouer avec un grand panel de coups/pouvoirs ou avec deux ou trois compétences plus puissantes, c’est le joueur qui décide.

On peut également parler de la jauge de vie qui se remplit si elle est trop basse via un système de potion unique qu’on active avec la touche et qui se recharge au fil du temps (héritage de Diablo III). La mort arrive plus d’une fois dans le jeu et il faut débourser quelques centaines de pièces d’or pour réapparaître à proximité de son cadavre.

Le jeu est clairement taillé pour le jeu à la manette et en terme de graphisme, c’est fluide même lorsque des nuées d’ennemis chargent le héros. Les niveaux sont détaillés, les égouts (pour l’instant) sont lugubres et respirent la pestilence. Les amas de matière verdâtre des démons, les effets pyrotechniques des compétences et le Character Design du monde Warhammer sont une grande réussite, rien que les vitraux de Nuln sont magnifiques.

Conclusion : Chez PSMag, on l’attend : BEAUCOUP !!!

Warhammer : Chaosbane ne révolutionne pas le genre et apparaît ultra classique mais rien que dans la bêta, le jeu tourne déjà très bien : gameplay nerveux, réalisation réussie, jeu fluide, système de progression intéressant, personnages complémentaires. Reste à voir si les missions comme les lieux visités seront variés mais au vue des mises à jour annoncées, on reste confiant.
Warhammer : Chaosbane a, en tout cas, tous les ingrédients pour être une bonne expérience à faire seul ou à plusieurs.

 

Galerie de la Bêta



Les quatre classes du jeu


Les cutscenes du jeu

Les égouts de Nuln

L'interface du jeu : ici les compétences à débloquer


Graphiquement le jeu est réussi

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Pilou
Responsable / Concepteur / Rédacteur en chef
Fan de jeux vidéo depuis ma plus tendre enfance, j'affectionne les jeux AAA et les jeux où la chair putride est à chaque coin de rue.
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